Mise en scène : Elsa Chêne
Assistanat à la mise en scène : Hugo Favier
Interprétation : Denis Robert, Marion Menan, Pascale Guigon, Isis Sebasoni, Margaux Roussillon
Composition musicale et régie son : Patrick Belmont
Costumes : Solène Valentin

Photographies : Simon Loiseau
Coordination et direction technique : distribution en cours
Scénographie : Marie Szersnovicz
Création lumière : Lou Van Egmond

Accompagnement en production, diffusion et développement : Ad Lib · Support d’artistes

Soutiens

Une création de Elsa Chêne

Une production déléguée de l’Atelier 210

En coproduction avec MARS-Mons Arts de la Scène et le Théâtre Varia.

Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre

Avec le soutien de la Bellone (BE), la Fabrique de Théâtre (BE), Neimënster (LU), le Théâtre Paris-Villette (FR), Garage29 (BE), Cheval Noir (BE) et Wallonie Bruxelles International.

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Conception et chorégraphie, interprétation : Ikue Nakagawa
Collaboration pour la danse : Lorenzo De Angelis, Taka Shamoto, Samolé Genèse
Lumière : Ryoya Fudetani
Régi lumière : Matthieu Vergez
Musique : Patrick Belmont
Scénographie : Camille Panza, Léonard Cornevin
Production déléguée : La Balsamine
Production exécutive et diffusion : Météores
Administration, production : Charlotte Giteau
Diffusion, production : Anaïs Guilleminot.

Coproductions : Charleroi danse, La Balsamine, Cndc Angers, Atelier de Paris, LaPlace de la Dance, La Coop asbl et Shelter Prod. Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles, de Wallonie-Bruxelles International et de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse.

Soutiens : Grand Studio, Le BAMP, La Bellone, Ad Lib’s ATTIC residencies, Centre Wallonie Bruxelles à Paris, Montpellier Danse dans le cadre de l’accueil en résidence à l’Agora, cité internationale de la danse, avec le soutien de la BNP Paribas , Materiais Diversos, taxshelter.be, ING et Tax Shelter du gouvernement fédéral belge. Accompagnée par le Grand Studio.

Nous avons plusieurs « moi » dans notre vie quotidienne. J’utilise plusieurs visages dans ma vie. Je pioche un de ces visages selon l’occasion, le contexte, un peu comme dans un jeu de cartes. Mais le « moi » en relation avec le monde n’est qu’une petite partie de ce que je suis. Les attitudes et les sentiments que j’exprime aux autres cachent de nombreuses couches de sentiments et de pensées.

Je ne crois pas saisir et comprendre pleinement la grande variété des personnages qui m’habitent. Certains d’entre eux peuvent être cachés par la peur ou ignorés délibérément. Plus j’essaie d’aller au fond de moi-même, moins je suis sûre de ma propre forme. Je suis à une étape de ma vie où je commence accepter de regarder ces couches, de les accepter même s’il y a des choses que je trouve horribles. Je ne suis pas un personnage fixe, mais une collection de nombreux personnages.

KUROKO: Dans le théâtre KABUKI, les “KUROKO” sont entièrement vêtus de noir et sans visage. Ces « personnages » ont essentiellement des rôles d’assistants ou de marionnettistes.Je crois que j’ai -comme tout le monde d’ailleurs- des KUROKO à l’intérieur de moi; ils sont « là sans être là ». En japonais < KUROKO ni tessuru > signifie “travailler pour quelqu’un, arranger ses affaires, régler ses problèmes, sans qu’on le sache, en restant toujours derrière, dans l’ombre.” C’est une attitude qui n’attend aucune récompense. Normalement le KUROKO n’est pas le centre de l’histoire. Il est au service d’un autre.

Dans cette pièce, mes efforts et les peurs cachées pour être ici sont dévoilées par l’apparition de KUROKO. Je voudrais montrer la relation de Moi et KUROKO à quel point nous sommes violentes avec nous-mêmes, à quel point nos pensées et nos corps sont parfois séparés l’un de l’autre, à quel point KUROKO ne m’a jamais abandonnée. « 

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Images, montage et texte : Alix Dussart
Création sonore : Patrick Belmont

 » Contre la nuit est un récit où coexistent des lieux et des temps, comme dans la mémoire. Vous y verrez des images de voyages dans le Grand Nord et d’ailleurs. La recherche des soleils de minuit et leur lumière continue en sont à l’origine, tout comme l’envie de voir d’autres décors, ou encore la poursuite d’un lieu, ou d’une image à vérifier. Cette recherche a abouti au motif de la maison, et la lumière est devenue un personnage, comme dans les contes. Peu à peu, le déplacement laisse place à la construction d’une maison intérieure. Cette maison devient un îlot de tranquillité, elle tient à l’écart la nuit. Les petits objets dont on se remplit les poches ne sont plus nécessaires, seulement la main qui les tient. « 

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Interprète et chorégraphe: Fanny Brouyaux

Assistant chorégraphique: Jason Respilieux

Créateur lumière: Quentin Maes

Créateurs son: Patrick Belmont et Yann Leguay

Regard ponctuel et assistant dramaturgique : Louis Combeaud

Autres regards ponctuels: David Séchaud, Sophie Guisset, Angela Rabaglio, Micaël Florentz et Baptiste Conte

Costume: Rose Alenne Voleau

Conseil Maquillage : Colette Menet

Partenaires : Charleroi danse, Grand Studio, Mille Plateaux – CCN La Rochelle dans le cadre du dispositif de l’accueil studio du ministère de la Culture, CCN – Ballet de l’Opéra national du Rhin dans le cadre du dispositif Accueil Studio 2023, Théâtre du Marché aux grains – Bouxwiller, Accueil studio : POLE SUD CDCN – Strasbourg, Theater Freiburg (DE), L’Abri (CH), Onassis (GR) et Trois -C-L Centre de Création Chorégraphique Luxembourgeois dans le cadre du Réseau Grand Luxe 2022-23, Théâtre Marni, Centre culturel d’Anderlecht, La Fabrique de théâtre.  Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles Service Général de la Création Artistique-Service de la danse et le soutien de WBTD/WBI. Fanny Brouyaux est accompagnée par Grand studio

 » (« Schieve signifie tordu ou fou en bruxellois”). Solo danse-performance explorant les parallèles existants entre les caprices vibrants et nerveux du compositeur italien Paganini et la spasmophilie*.  Dans son nouveau solo « To be schieve or a romantic attempt », la chorégraphe et danseuse bruxelloise Fanny Brouyaux, issue d’une formation de musicienne et danseuse classique et contemporaine, s’intéresse à l’aspect viscéral du mouvement romantique : la corde sensible. A travers un travail de maîtrise rythmique de tensions physiques et mécaniques de différents états émotionnels : l’émergence d’un sanglot, la technicité du tremblement, du spasme, elle explore les frictions entre gestes maîtrisés et les mouvements incontrôlés qui la traversent lors de crises de spasmophilie. Ex-violoncelliste, elle invite le regard du spectateur au trouble, jouant sans cesse de cette opposition entre gestes virtuoses lyriques et gestes pulsionnels anarchiques. Accompagnée d’une bande son composée entre autres de différents caprices de Paganini, la danseuse détricote les tensions qui habitent son corps partant à la rencontre de fossiles d’émotions. (Longtemps considérée comme de l’hystérie, la spasmophilie est une réaction du système neuro-nerveux produisant des crises de tremblements, de spasmes ou de « gestes-mémoire », qui peuvent être le moyen pour le corps de se libérer d’un stress post-traumatique excessif). « 

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CREATION : Natalia Vallebona et Faustino Blanchut

CHOREOGRAPHY AND STAGING: Natalia Vallebona

DRAMATURGY : Faustino Blanchut

INTERPRETATION : Faustino Blanchut – Julia Färber Data – Marianna Moccia – Florian Vuille

MUSIC AND ARRANGEMENTS : Patrick Belmont

PRODUCTION : Poetic Punkers Les Riches -Claires

SUPPORT : Maison des Cultures de Saint-Gilles – Centre culturel de Chénéé – Cie Abbindanza Bertoni – Teatro della Tosse – Ad Lib dans le cadre des résidences ATTIC

 » Mario et Maria – le touriste du sentiment est une tragédie aux accents comiques ou une comédie aux accents tragiques pour 4 interprètes. Grâce à un mécanisme théâtral hypnotisant, l’œuvre raconte l’histoire d’un homme qui incarne avec sérieux et dérision, l’archétype d’une société patriarcale à travers le canon du machisme italien. Il appartient à une génération déjà obsolète et tente de retomber sur ses pieds à chaque secousse qui fait trembler les règles sculptées en lui. À son service, 3 employé·es modèles, ses alter ego, s’exécutent afin de donner vie à une introspection périlleuse. Malgré ses bonnes intentions, notre touriste du sentiment est corrompu par le pouvoir et avec la complicité du public, il joue avec Mario et Maria qui sont neutres, insensibles, pleurent sur commande, parlent en vers ou rapent en verlan, se déplacent sur la pointe des ongles des pieds et exécutent avec perfection un détartrage drastique de vos canines jaunies. Amour, Mort, Foi, Trahison : Mario et Maria entrent, sortent et jonglent avec les grandes thématiques de la vie, comme un·e touriste fait défiler les photos de sa dernière destination.  « 

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Conception et chorégraphie, interprétation : Ikue Nakagawa
Collaboration dramaturgie : Lorenzo De Angelis

Lumière : Octavio Mas

Construction scénographie : Val Macé

Regard extérieur :  Masako Hattori

Musique : Patrick Belmont

Conseil en technique marionnettique : Noemie Vincart

Production à la création : AMA Arts Management Agency – France Morin, Cécile Perrichon et Anna Six

Production déléguée : Météores

Production, administration : Charlotte Giteau, Clémence Voiries

Diffusion : Anaïs Guilleminot

Coproductions : Les Brigittines, Charleroi Danse, C-TAKT,  Le Vivat, La Place de la Danse – CDCN Toulouse/Occitanie, Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Soutien : Grand Studio, Le BAMP, La Bellone, La Briqueterie – CDCN Val-de-Marne, Centre Chorégraphique National de Roubaix / Ballet du Nord, Ce projet est en compagnonnage avec Le BAMP

Remerciements : Taka Shamoto, Benoît Priels

 » Ce projet commence par un dessin que j’ai réalisé en pensant à mon père qui luttait contre sa maladie et les membres de ma famille restés autour de lui pour l’entourer et lui donner ce qu’ils avaient de meilleur. TAMANEGI signifie « oignon » en japonais. Dans ce moment particulier, j’ai dessiné ma famille comme un oignon, comme si l’oignon représentait la structure des relations familiales. De la racine commune émerge une chaire dont les couches s’élargissent mais poussent dans la même direction. Chacune des couches s’éloigne petit à petit du centre et protège toutes les autres, jusqu’à la plus petite qui renouvelle le cœur de la structure. Comme dans une famille où les plus âgés protègent les plus jeunes. De la même façon, la peau de l’oignon qui s’amincit à mesure qu’il grossit est similaire à la façon dont nous devenons de plus en plus faibles à mesure que nous vieillissons. Il y notamment une notion qui m’intéresse beaucoup et que je ne parviens pas à traduire en français. « 見守る/MIMAMORU » Ce mot est composé avec deux kanji (idéogramme) :  見る(MIRU) = regarder, et  守る(MAMORU) = protéger. C’est une sorte d’attention/action quasiment intangible et pourtant assez concrète, réelle. Une attention que l’on ne saura jamais sûr d’avoir reçu, et qui pourtant est constitutive. C’est typiquement ce genre d’activité invisible et inexprimable qui régit les liens familiaux et que je souhaite formuler plastiquement et chorégraphiquement pour le partager.  Comme dans mon spectacle précédent, des marionnettes à taille humaine dialogueront avec mon corps, mais ici, pour construire une représentation de structures et de dynamiques familiales ; structures dans lesquelles les vies enchevêtrées se pré-existent et se cèdent la place, disparaissent et laissent des traces que les générations suivantes se ré-approprient. « 

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Directed by Yvan Megal

Music by Strapontin

 » A father and his sons are eating together. Something happened. They should talk but they can’t. They don’t know how to. Anger and sorrow silently rumble underground. A video about the intangible violence produced by patriarchy and its dangerous tools: Authority, fear, pressure and silence.  »

Adapted from the original short movie ‘La Poële’ by Yvan Megal

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Models, music, direction, effects and editing: Patrick Belmont

 » Eunuque can’t procreate and has no sexuality. Eunuque is trusted by males because he isn’t considered as one. Eunuque isn’t considered as a danger for women. Eunuque can sing higher than regular males and reach god’s ears. Eunuque can access more important posts than other human being because he would never create a dynasty. Eunuque isn’t a threat, but is a stranger to everyone. « 

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Conception et interprétation : Max Bonnin avec Éli Lécuru et Lucas Struna

Collaboratrice artistique labos et maquette : Coline Barraud

Construction : Lise Mazeaud

Lumières : Vincent Chrétien

Musique : Patrick Belmont

Technique son : Solène Le Thiec

Production : Agathe Martin

« N’oublie jamais que tu es un homme». Est-ce que je pouvais oublier d’être un homme? Et être quoi? Une femme? Autre chose?  » Trois interprètes au plateau détricotent et tente de mettre fin au mythe de la crise de la masculinité pour enfin partir vers de nouveaux horizons dans une performance foutraque et ludique. Quête laborieuse, drôle et radicale, cette aventure s’ancre dans les expériences personnelles des interprètes qui partent de leur rapport au masculin. Pas de redéfinition de la masculinité ici mais bel et bien un projet extravagant d’explosion du genre, traversé de saillies extrêmes et de contradictions. Dans leurs récits ou les chorégraphies que les interprètes convoquent, iels examinent les enjeux de la perception de leurs corps par le public. En détournant des danses stéréotypées comme le macho dancing ou en se travestissant en personnages dégenrés, leur projet de démasculinisation des corps et de transgression les amènent à se redécouvrir : l’intime est politique. Ce projet chaotique les pousse à naviguer vers les eaux agitées du territoire queer. Mais le queer n’est pas une identité figée de paillettes ni une zone d’occupation stable. C’est un territoire en tension. Le queer est un rejet total du régime de la normalité. Le queer c’est ce qui est anormal, étrange, dangereux. Dans une écriture scénique singulière qui mêle chorégraphie, monologues et tableaux, MASCUS participe au renouvellement des imaginaires. Max Bonnin et son équipe d’interprètes pluri-disciplinaires lancent ici une performance radicale et provocatrice qui expose nos divergence face aux questions du genre. « 

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Choreographer : Baptiste Conte

Dancers: Baptiste Conte, Salomé Genès, Jean Lesca, Alessia Wyss

Sound creation: Patrick Belmont

Lights : Sylvie Melis

Choreographic look: Killian Madeleine

 » Ressac is an approach to the European seaside landscape through dance and the visual arts. Like a painter’s canvas, which shows the multiple composition of a landscape in successive layers, Ressac questions our relationship to ecology, time, intranquility and crisis. This research invites us to look at our natural environments, and ourselves, in crisis. The approach chosen allows us to deal with the subject in both an intimate and societal way. This creation combines a plastic installation of modules and a contemporary dance score for 4 dancers. Première of Form 1 – In situ, 30 and 31 March 2023, as part of [Regards sensibles] état du monde, la Vallée, Brussels. « 

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Chorégraphie: Natalia Vallebona

Mise en scène : Natalia Vallebona – Faustino Blanchut

Dramaturgie : Faustino Blanchut

Composition musicale : Maxime Pichon – Patrick Belmont

Arrangements live : Maxime Pichon

Création et interprétation : Faustino Blanchut – Éléonore Bodin – Marianna Moccia – Maxime Pichon – Alvaro Valdés / Patryk Kłos – Natalia Vallebona

Production : Poetic Punkers, Partenaires : Wolubilis / Le BAMP / Compagnia Abbondanza Bertoni / LOBO Festival Toulouse / Les Noctambules Nanterre / Teatro della Tosse Gênes / Theatre 140 Bruxelles / Go – Towards /

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Soundtrack for Ugo Woatzi’s exhibitions « Dis(m)asters of Photography »- Recyclart, Brussels (BE)

Choregraphy : Baptiste Conte

Performer :Amandine Gilbert, Ariadna Girones Mata, Patrick Belmont, Joseph Rioton

Music : Patrick Belmont

Playwright: Cloé Julien Guillet

Assistance: Anna Solomin

« The gymnasium, is a space of « dramaturgy of reality » used in this artistic research, in order to grasp its versatility, it’s plasticity and its inclusion in contemporary bodies. Registering at the heart of the gymnasium means creating a laboratory of contemporary stories of the place and of the bodies that cross it; it’s to highlight all the complexity of the forces that are exerted there – from the entrance to the locker room to the space dedicated to sports practice. It also means resizing this space through the choreographic gesture and nurturing a political reflection to revisit this space through the event and the relationship to the collective as a place of manifestation. These links tell, in their own way of our contemporary times, the politics of the individual and the collective that exist in our societies, and which can be reinvented in dance. In a society where the image of the body wants to be more and more mastered by its performance and its plastic standardization, what kind of body diversity is shown to us on these sports fields? When the gymnasium becomes an agora, what do the choreographies of body activity tell us? Phase 1 of the research was carried out with a first team and presented as a scale model at the Open Space festival in 2020, at the Théâtre de l’étoile du nord (Paris) »

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Directed by Patrick Belmont & Yvan Megal

Music by Strapontin

100% DIY: using only cardboard and bike lights

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Director : Yvan Megal

Actor : Laura Bacquelaine, Vanessa Daniëls

Chief Operator : Quentin Malingrey

Sound – Music : Patrick Belmont

Make-up : Elénonore Herbinaux

Electronic chief : Matteo Villa

Coproduction: ZSenne Artlab

Financial support : Kiss Kiss Bank Bank

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Music composed by Patrick Belmont

Choregraphy by Joseph Rioton

Performers: Joseph Rioton, Patrick Belmont, Heléne Berrodier

A performance about the inevitable creativity led by chaos.

Directed by Patrick Belmont & Yvan Megal

Music by Strapontin

Pedigree was made in collaboration with belgian director Yvan Megal. It emphasis on the masculinity we project on objects and our behavior with it. The lyrics of the song is the answers Strapontin got after asking the question : what is manliness to you ? The answers : Being manly is having hairs, being strong, smelling bad, leading and knowing how to fight.

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Directed by Patrick Belmont & Yvan Megal

Music by Strapontin

Performer : Audrey Riesen

Assitant : Aurelia Authome

The first date of a couple turns into a strange ritual.

A short movie which turned out to be a music video, another attempt from Yvan Megal and Strapontin to blur the line between genres and confuse the viewer on a deliciously perverse level.

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Concept and dance: Natalia Vallebona

Music: by Patrick Belmont

Photos: by Manuele Cinelli

Partners: Taetro Akropolis,Teatro della Tosse, Centro Dialma Ruggero (Italy), Sign Six (Bruxelles).

« A smile that shakes the inside, You can see a woman, another woman, any woman or maybe a man. Then a memory, a hope and a beast that I can hardly tame. Occasionally some rare trace of poetry set in a genre that drools its place.  » MISS The act of « smile » captured my attention during the reseal for MissXX. Smiling is one of the most common and, at the same time, one of the most ambiguous and mysterious action that people do. Smiling brings man back to direct descent from the animal that grinds his teeth asa sign of a possible attack. Duchenne smile (spontaneous), Coquettish, Shy, Flirty, Interested, Embarrassed, Forced… Smiling is the first act of socialization and it is almost always accompanied by an internal emotional state. The « smile » is a multi-purpose expression. It can evoke sweetness or be terrifying. MissXX shows this internal emotional state during different « normal situation ». MissXX is a smiling woman, she shows the secret behind her smile. XX I defined my miss « XX » because the gender is never totally clear. There are many wrong details that allow a reading of the ambiguous character. The intent is to not focus on a specific identity, but MissXX tries to be an ensamble of different identities that coexist in the same body. Miss XX shows his internal side through a very concrete body, which leads to the extreme. The constant work of production leads to a gradual depletion of the ego, a way to arrive in a fragility condition. This will be the moment where MissXX takes off her mask and people were looking at her just like a woman. In one side MissXX can be seen as an object of « evocative production », in the other side she goes throw a path of a woman lost in the maze of something, to approach a bit more to herself. « 

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Conception et interprétation : Lorenzo De Angelis

Co-écriture : Ikue Nakagawa

Collaboration : Aina Alegre

Musique originale : Patrick Belmont

Lumière : Coralie Pacreau

HALTEROPHILE – Entre one man show chorégraphique et lap dance métaphysique…

mouvement.net / G. Mayen
… « Enfin, Haltérophile révèle la trempe chorégraphique de Lorenzo de Angelis, déjà remarqué comme danseur interprète exceptionnel. L’artiste se confronte à une très vaste aire de jeu circulaire, offerte à la station des spectateurs qui l’observent. Il sollicite l’un ou l’autre d’entre ces derniers, par des jeux d’adresses, de regard, de quelques propos brefs, aussi directs que légers et sensibles, en toute improvisation. Cela tout en projetant ses amples trajectoires, ses brèves courses, ses cristallisations corporelles mouvantes, à travers tout l’espace. Lequel devient le support palpable d’un enjeu de rencontre entre le soliste et la situation politique de l’assemblée
qui l’entoure. Non sans une bienveillance fort réparatrice, et stimulante, par les temps ambiants. »

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Vocal performance at Clovis XV gallery, Brussels

Concept : Nina De Angelis & Patrick Belmont

Nina De Angelis & Patrick Belmont se retrouvent autour d’amours communs: la poésie contemporaine, la musique et la performance. Ils traversent ces médiums sans complexes ni hiérarchies, et on peux entendre dans leur performance une lovesong aux textes éthérés, un opéra sans mots, les bruitages de l’ivresse d’une nuit, autant que des exercices littéraires d’un nouvel ordre Oulipien. Ils partagent le même plaisir de l’abstraction poétique et de l’immédiate joie procurée par la performance.

Concept and choreography: Natalia Vallebona

Dancers: Arazi Judith, Alexandre Bachelard, Leo Duvignon, Joseph Rioton, Roberta Racis, Silvia Pezzarossi

Music : Patrick Belmont

« Rdv Tomorrow are the words that people say, once untold and the once that would like to say to themself and to the world. We can find them in a sight, in a moment, in a meeting, in a silence. Sometimes, they transform themself, and then become a fear, an emotion or a feeling then disappear leaving the human being naked, exposed. Alone with his fragile beauty. »

• Poetic Punkers

Concept : Joseph Rioton & Patrick Belmont

Choreography : Joseph Rioton

Music : Patrick Belmont

« Dans Out of Focus, ce qui est donné à voir n’est pas le corps du danseur mais l’impact des mouvements de son corps sur l’espace. La lumière vient se déposer sur les murs et le sol, suggérant par ses mouvement une danse que nous percevons à peine. Cachée, anonyme, la danse est invisible, secréte; tandis que la musique donne à entendre ce que l’on ne fait que percevoir. Afin de s’adapter au mieux au lieu qui l’accueille, Out of Focus est modulable en fonction du temps et de l’espace, cela permettant à leurs auteurs de nourrir continuellement la pièce avec de nouvelles idées. « 

Concept and choreography: Natalia Vallebona

Performers: Chloé Beillevaire, Natalia Vallebona, Laura Desideri, Judith Arazi

Music Piece: Davide Ravasio

Music composition + Djset Party: Patrick Belmont

“After Party” is the journey of three women through a path of social, physical and psychological decadence. Each character tries to resist to her after party, where strong and authoritarian admissions slowly crumbling. The result is the exposition of a body that can no longer hide the signs of his own experience. The body becomes more fragile and lets himself slide down. Society invites to the woman to hide her own weakness, old age …. transforming herself into a plastic, artificial object , increasingly less  real. After Party is a parade of beauty and sensuality gradually sucked into  a decadent  spiral.

• Natalia Vallebona
• Teaser

Short movie directed by Xavi Ambroise, music composed by Patrick Belmont